Test – Assassin’s Creed Mirage

Après trois opus très ambitieux, prenant une nouvelle direction radicale avec un côté RPG (jeu de rôle), ultra-open-world, proposant un contenu limite trop gargantuesque pour les joueurs… Assassin’s Creed et les équipes d’Ubisoft décident de revenir aux fondamentaux de la licence en nous offrant un titre qui renoue avec ses origines.

À la base, Assassin’s Creed Mirage était bel et bien un DLC d’Assassin’s Creed Valhalla. Un stand alone qui nous plongeait dans la peau de Basim Ibn Ishaq, un protagoniste que nous avions l’occasion de croiser dans notre épopée chez les Vikings. Ubisoft a préféré opter pour un nouvel opus qui s’inscrit comme le treizième jeu canonique de la série Assassin’s Creed.

Un peu comme avec Assassin’s Creed Brotherhood et Révélation qui devaient être des DLC d’Assassin’s Creed II, nous nous retrouvons avec un jeu unique, qui fait voyager à Bagdad, la capitale de l’Irak, en 861, en plein âge d’or de l’Islam pour une nouvelle aventure très inspirée des premiers jeux Assassin’s Creed.

Un jeu plus modeste, qui abandonne le côté RPG, réduit son contenu pour se concentrer sur l’essentiel. Un titre particulièrement attendu, qui a pu faire sensation lors de ses présentations. Il est désormais temps de vous en parler et de faire le bilan pour savoir si les aventures de Basim sont à la hauteur de nos attentes.

  • Date de sortie : 5 octobre 2023
  • Support : PS5, Xbox Series X/S, PC, PS4, Xbox One
  • Prix : 49,99 euros
  • Disponible en physique : oui
  • Nombre de joueur : 1 joueur
  • Multi en ligne : non
  • PEGI : +18

Découvrez dès maintenant mon avis sur Assassin’s Creed Mirage :

POINTS POSITIFS POINTS NEGATIFS
Un bon retour aux sources qui fait plaisir Techniquement et graphiquement, c’est assez ridicule 
L’ambiance de Bagdad, un bon souvenirs des premiers AC L’IA catastrophique
Jeu intégralement disponible en VO Arabe, sous titrée en FR Cheminement du jeu assez répétitif
Une histoire plutôt intéressante, dans laquelle on joue un Assassin.. un vrai. Retour aux sources même dans les soucis
(parkour pas
toujours précis, combats parfois laborieux). 
Le « pouvoir » de concentration, pas réellement convaincant
Quand même pas mal de bugs.